Parce qu’on est seul(e), le ou la patiente vient seul(e) en consultations.
C’est parfois un choix de ne pas vouloir avertir le compagnon ou la compagne soit parce qu’on estime être seul(e) à être le « responsable » du trouble ou c’est pour pouvoir parler plus librement sans que l’autre n’entende et surtout intervienne.
Bien évidemment je respecte ce choix et parfois c’est mieux d’être seul (e).
Par expérience, l’absent est souvent au cœur de la consultation. Dans le couple, la sexualité peut se vivre seul(e), mais la demande est qu’elle soit partagée.
L’autre est concerné, soit il est à l’origine du trouble, soit il en pâtit, soit ça l’arrange et parfois c’est un peu tout à la fois.
Il arrive donc que je demande à voir le compagnon ou la compagne.
Renseignements : Sexologue pour thérapie individuelle à Saint-Chamas et sa région.